Non, la crise sanitaire n’a pas ralenti le marché de l’immobilier neuf : Depuis le déconfinement, le marché de l’immobilier neuf est reparti de plus belle ! Avec ses apports de garanties indéniables en comparaison à l’ancien, il permet notamment de disposer d’un logement qui respecte les nouvelles normes environnementales. Kize vous emmène à la découverte de cet article signé Next Finance sur la dynamique du marché qui cite les villes d’avenir sélectionnées par nos experts tel que Bordeaux, Lyon, Nantes et Rennes.

« « La pierre reste une valeur refuge malgré la crise »
Avec une progression globale de 3,3 % du prix au mètre carré fin avril 2020, l’immobilier neuf tire son épingle du jeu malgré la crise du covid-19 : « Depuis le déconfinement, le marché a retrouvé des couleurs. Les chantiers ont repris graduellement pour respecter les mesures de sécurité imposées par le gouvernement » analyse Jérôme Launay, directeur général du groupe éponyme, spécialisé dans la vente de biens sur l’Arc Atlantique.
« Les entreprises ne peuvent plus, par exemple, être toutes présentes simultanément sur un chantier. Pour certaines livraisons prévues en juin, il faudra attendre trois mois de plus ». Pourtant, malgré les retards de livraison, le marché de l’immobilier neuf ne semble pas pâtir en profondeur de cette crise sanitaire sans précédent.
« Le neuf apporte des garanties indéniables en comparaison à l’ancien. Il permet notamment de disposer d’un logement personnalisé et optimisé. Il respecte les nouvelles normes environnementales. Tous ces avantages sont importants pour un investissement sur le long terme », affirme Jérôme Launay. Les premières villes recherchées sont évidemment les grandes métropoles. On constate ainsi que Bordeaux et Lyon atteignent des prix records : 322 300 euros et 366 000 euros pour un T3. Un investissement encore raisonnable comparé à Paris : pour la même surface, il faudra compter en moyenne 818 000 euros. Nantes fait partie des seules villes à enregistrer une baisse de ses prix depuis six mois (-2,6 %). « Les villes de Rennes et Nantes sont en zone B1 et bénéficient encore du dispositif Pinel jusqu’à décembre 2021. Ces villes sont en pleine essor. Cela se traduit notamment par de nouvelles commodités et optimisation des transports en commun », confirme Jérôme Launay. Il y a donc fort à parier que les prix n’ont pas fini de grimper dans les logements en périphérie des villes vedettes. »
Lire l’article complet ici !
Article du 15 Juin 2020, par Next Finance.